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French book
Product Code: 128070
Johan Ickx / Cerf / 300 pages
Et si, pour comprendre l’attitude de Pie XII pendant la Seconde Guerre mondiale, il fallait se tourner vers la Grande Guerre ? Et si le jeune Mgr Pacelli, sous-secrétaire de la congrégation pour les affaires ecclésiastiques extraordinaires en 1914-1915, s’était distingué par sa méfiance vis-à-vis de l’Allemagne et sa sympathie pour les Alliés ? 100 ans, c’est le temps qu’il aura fallu à des documents secrets de la diplomatie vaticane pour être, dans ce livre, exhumés. Ces derniers révèlent que, dès le début de l’année 1915, en Belgique, une contre diplomatie du Saint-Siège était à l’œuvre. Sa mission : favoriser la résistance, en Belgique et ailleurs, à l’Allemagne. A sa tête : Mgr Pacelli, qui n’est autre que le futur Pie XII, pape de la Seconde Guerre mondiale. Outre de blanchir Benoît XV, à qui on a tant reproché de ne pas avoir pris parti pendant la Grande guerre, cet ouvrage détonnant révèle le double jeu mené par Pacelli. Derrière une apparente politesse, cet homme avait choisi son camp dès le début, celui de la France et l’Angleterre. Après un demi-siècle de débats relatifs au rôle joué par Pie XII pendant la Seconde Guerre mondiale, cet ouvrage met un terme à la querelle. Plus jamais il ne sera permis d’accuser l’Eglise de sympathie envers les nazis.
Et si, pour comprendre l’attitude de Pie XII pendant la Seconde Guerre mondiale, il fallait se tourner vers la Grande Guerre ? Et si le jeune Mgr Pacelli, sous-secrétaire de la congrégation pour les affaires ecclésiastiques extraordinaires en 1914-1915, s’était distingué par sa méfiance vis-à-vis de l’Allemagne et sa sympathie pour les Alliés ? 100 ans, c’est le temps qu’il aura fallu à des documents secrets de la diplomatie vaticane pour être, dans ce livre, exhumés. Ces derniers révèlent que, dès le début de l’année 1915, en Belgique, une contre diplomatie du Saint-Siège était à l’œuvre. Sa mission : favoriser la résistance, en Belgique et ailleurs, à l’Allemagne. A sa tête : Mgr Pacelli, qui n’est autre que le futur Pie XII, pape de la Seconde Guerre mondiale. Outre de blanchir Benoît XV, à qui on a tant reproché de ne pas avoir pris parti pendant la Grande guerre, cet ouvrage détonnant révèle le double jeu mené par Pacelli. Derrière une apparente politesse, cet homme avait choisi son camp dès le début, celui de la France et l’Angleterre. Après un demi-siècle de débats relatifs au rôle joué par Pie XII pendant la Seconde Guerre mondiale, cet ouvrage met un terme à la querelle. Plus jamais il ne sera permis d’accuser l’Eglise de sympathie envers les nazis.
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